• 050

    Je mis la pain sur l'épaule d'un homme assez étrange et ratatiné :
    -Dis-moi, que se passe t'il ? Pourquoi certains pleurent et d'autres font la fête ?
    Le vieil homme me dévisagea étrangement en plissant les yeux puis m'expliqua en haussant les épaules :
    -Le premier homme que Dieu a créée vient de mourrir. C'est à dire un membre de notre famille vient de décédée, mais d'un autre côté, la malédiction que cet homme avait placé sur nous, sa famille, vient de disparaître en même temps que lui. Tu n'es donc pas au courant ? De qui es-tu le fils ? De Seth ?
    Je secoua la tête :
    -Cela n'a pas d'importance ... sinon, j'ai entendu dire que des anges étaient descendu ici, où sont-ils ?
    Le vieil homme rit :
    -Oh, cela te rend curieux ? Ils sont établis parmi nous depuis un bout de temps ... va voir dans les tentes de ce côté-ci tu devrais en trouver un ou deux ...
    -Merci. dis-je simplement en me dirigeant vers la direction indiquer.
    Lorsque j'ouvris l'une des tentes, je vis une chose effroyable.
    Une créature qui n'aurait pas dû exister. Je sortis sur le champs de la tente pour me calmer.
    -Caliel, c'est toi ? C'est vraiment toi ? fit une voix.
    Je me retourna.
    Ouriel était là, en compagnie d'Azael.
    -Vous êtes là ! Mais que faites-vous ? Vous auriez dû remonter depuis longtemps ! dis-je surpris de les voir aussi détendu.
    -Doucement ! Tout doux Maitre Caliel ! Ironisa Azael.
    Je me força a resté calme.
    Ouriel me prit par les épaules et m'emmena dans une forêt toute proche.
    -Je t'écoute. dis-je en croisant les bras, une fois qu'il s'arrêta face à moi.
    -Je ... je ne sais pas par quoi commencer. Nous avons peut-être était trop arrogant ... les femmes d'ici était tellement attirante qu'on a pas pu se retenir et ... on s'est accouplé et établit ici ...
    Je soupira.
    Il eut l'air mal à l'aise.
    -En vous ... en n'ayant pas pu combattre le miasme et le vice d'ici vous avez créée des choses céleste qui n'aurait jamais dû exister ! Est-ce que tu te rend comptes de ce que vous avez fait ? La gravité de la chose ?
    -Comment ça, la gravité ? Ce ne sont que des enfants !
    Je secoua la tête :
    -Nous sommes à la veille d'une guerre céleste, dont nous ne connaissons même pas le début et voilà qu'un groupe d'ange sans réflexion et retenu s'accouple avec des ... femelles hommes ! Pour créée ces sortes de monstres célestes ! Tu ne t'en rend pas compte toi-même, hein ?
    Il secoua la tête, l'air perdu.
    -On dit "humaine", ici. Nos femmes peuvent porter nos petits. Nos néphilims deviennent soit des géants, soit des humains ailés. Je ne vois pas ce qu'il y a de dangereux...
    -Ce qu'il y a de dangereux ? Connais-tu les règles de base d'une création ? De la création de se monde en particulier ? Celui-ci est basé sur l'équivalence ! Tu as crée ce monstre, quelque chose d'équivalent a donc dû être créer sur cette planète pour rétablir l'équilibre ! Qui sait ce que sa puisse être !
    Il eut l'air choquer.
    -Tu comprends enfin tes erreurs ? demandai-je, soulager.
    -Je suis choqué que tu traites mes enfants de monstres ! fit-il, le visage devenant rouge.
    Je fus tout autant choqué de sa réaction.
    Je soupira :
    -Voilà donc a quoi mène l'imprudence...
    -L'imprudence ? Ce monde est la plus belle chose que j'ai pu trouver dans ma vie ! Il est vaste et remplit de belle chose a découvrir ! Ne le vois-tu pas ?
    -Ce n'est pas ça le problème, Ouriel. Ce monde est fait pour les humains. Non pour les anges... vous étiez censé remonter juste après l'avoir vu ... j'ai peur à présent de comprendre ce que père vous réserve a vous et à ce monde ...
    Les étincelles de déviance dans les yeux d'Ouriel disparurent petit à petit, faisant place à la perdition, puis à la peur.
    -Comment ... comment penses-tu qu'on puisse réparer ça ?
    Je secoua la tête :
    -Le mal est déjà fais. Tuer les enfants ne fera que déséquilibré a nouveau le monde. Je vais essayer d'évaluer la situation, mais je ne suis pas sûre de pouvoir vous aider...
    Il hocha la tête, sagement.
    Je soupira et pris le chemin inverse que l'on venait de traversé.


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