• 051

    Le temps s'accéléra.
    Je vis le monde évoluer, les humains vieillir, les néphilims, fruit de l'accouplement d'anges et d'humaines, grandir.
    Le monde avait l'air de s'agrandir, de se remplir.
    De plus en plus d'humains apparaissaient.
    Père était vraiment incroyable d'avoir fait pareil création.
    Etrangement, le miasme ne m'atteignait pas.
    J'étais rester le même depuis mon arriver.
    Les anges ayant engendrait, par contre, avaient vu leurs ailes pourrir petit à petit, jusqu'à ce qu'elles deviennent grises et sales.
    Cela me rendait triste de voir sans agir.
    Un jour, je me rendis en volant sur la plus haute montagne de ce monde.
    -Père te souviens-tu de moi ? C'est moi Caliel, ton fils ...J'avais hurler cela dans un souffle de désespoir.
    Mais père me rendit tout de suite dans le murmure d'un courant d'air, tél une douce caresse :
    -Je t'entend mon petit. Je n'oublie jamais mes enfants. Que puis-je pour toi, Caliel ? Pourquoi as-tu l'air si triste ?
    -J'ai vu et constater ma naïveté et le coût de mon imprudence. J'accepte de payer, quelque soit le prix, père. Mais faites rentrer mes frères chez nous, dans les sphères célestes. Ils commencent enfin a ressentir le manque de la maison. Dis-moi ce que je dois payer, je le ferais...
    -Mon enfant, ta prudence et ta compassion sont dignes de toi, mais pourquoi veux-tu prendre le fardeau que tes frères t'ont imposé ?
    Une larme roula sur ma joue :
    -Leurs ailes ont pourri, père. Le miasme a déjà commencé à en ronger certains. Je sais que tout cela vient du fait de leur engeance ... interdite. Ouriel a été le premier a se rendre compte de son erreur. Même si l'interdit a été fait, il te demande pardon tout les jours depuis. Pardonnes-leur, père et fais-les rentrés à la maison. Laisse-moi payer pour mon imprudence et ma trahison. Je t'en prie ...
    -Je comprend, Caliel. Emmènent-les là où tu es arriver. Mais rappel toi de l'échange équivalent : un prêter pour un rendu.
    -Bien père. Je serais prêt.
    Un dernier vent doux m'entoura tendrement.
    Je pouvais sentir l'amour que père éprouvait pour moi, ce qui m'ému.
    Je respira l'air et pris mon courage a deux mains pour affronté mon prix a payé.


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