• 045

    Sitaël s'approcha de moi :
    -Toujours aussi prudent et impatient, dis-moi ! Alors dis-moi, de quel sorte d'information as-tu besoin ?
    -Des informations du genre : quel liens avec les hommes nous avons ? Le système mit en place devra se coordonné facilement au nouveau monde. Ca ne va pas être simple si je dois traiter quelque chose d'abstrait ... c'est pour sa que je ne dis pas non pour descendre. Je connais les risque, c'est peut-être pour ça que père m'a donné ce travail ...
    -Je vois. fit-il, l'air penseur. Ce n'est pas faux ... pour répondre à ta question, dis-toi que niveau caractère, l'homme nous ressemble. Il possède certain de nos traits de caractère, comme la patience, la sympathie, la compassion ...
    -Ou le contraire, comme nous les démons : l'impatience, la desobeïssance, la paresse ... fit Satan.
    Satan. Sous sa forme de démon. Il était accompagné d'un autre démon qui continua sa phrase :
    -Le contraire du bien c'est le mal, contre le contraire de l'ange, c'est le démon. L'humain a mangé le fruit de la connaissance, c'est à partir de là que notre système et le nouveau monde entre en coordination.
    -Magoa, tu sais bien que tout cela reste un concept humain ! s'exclama Satan.
    -Et pourtant, père m'a toujours bien dit qu'à chaque chose créée, son contraire existe ! C'est pour cela qu'un équilibre parfait se tient entre chaques mondes et chaques créatures ! expliquai-je.
    -Si seulement tu avais été aussi réfléchis, lorsque tu étais petit ... fit Sitaël en soupirant.
    Je vis Jeliel s'approchait de nous.
    Je pris dans mes bras Ipes, qui dormait profondément et me leva :
    -Sur ce, j'ai à faire ! A bientôt !
    Et je m'envola.
    -Caliel ! Revient ici imédiatement ! entendis-je Jeliel, ordonner.
    Mais je fus déjà dehors, sur le chemin du dortoir.
    -Tu aurais dû y retourner ... elle aurait peut-être était clémente ! s'exclama Magoa, qui volait à mes côtés.
    -Qui retournerait vers quelqu'un en sachant qu'il se ferait rabrouer ? En tout cas, pas moi ! dis-je en me posant devant le dortoire.
    Alouqua sortit à ce moment là précis, en panique :
    -Caliel, je ... (elle vit Ipes) il était avec toi ! Ce petit garnement a disparu quand j'avais le dos tourné !
    Elle le prit dans ces bras.
    -Je le punirais plus tard. Va te reposer toi aussi, tu m'as l'air épuiser ! lui conseillais-je.
    Elle hocha la tête, en souriant et entra dans le batiment.
    Il était temps pour moi de me mettre au travail !


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique