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La plupart avait perdu leur éclat de battant dans les yeux.
Il ne restait que deux personnes, ayant encore la tête haute, le reste regardaient leur pieds.
Sous les ordres de Léna, chacun fit quelques choses de différent.
Je les observais, complétement déçu et desintérêsser, à présent.
Je sentis Irena s'approcher et venir à côté de moi :
-Ca ne va pas ?
-Disons que j'ai perdu ma motivation...
Elle me fit signe d'approcher et me chuchota, à une certaine distance de sécurité :
-L'un des élèves est un loup-garou !
Je l'observa en clignant des yeux.
D'où savait-elle ma passion pour les créatures ?!
J'oberva d'un oeil nouveau, chaque morphologie.
Quel élèves pouvaient être une créature ?
Aucun gabarit présent, ne pouvait prétendre, être une créature !
Ils avaient tous l'air d'être de faible humain !
Un homme venaient d'arriver, discutant avec mon oncle.
-Qui est-ce ? demandai-je à Irena.
-Lui ? Père l'a engager comme professeur. Il se nomme Ren Kinochita, il est japonais.
-A t'il un lien avec Chika ? Ou Hikaru ?
Mes cousin japonais étaient de réél talent, surtout pour latter des Yakuza ...
Elle secoua la tête :
-Non, je ne pense pas. Il est japonais, mais père l'a rencontré au fin fond de la chine. Il jouait à l'érmite sous les cascades !
Ils se tournèrent vers nous, et le japonais s'approchait de moi.
Il dégageait un calme plat, autour de lui.
Cheveux et yeux noir, trait digne d'un samouraï, visage fermer et sérieux.
Il portait une sorte de salopette noir moulante.
Sa silhouette était celle d'un homme lambda.
Alors qu'il s'apprêtait a entré dans mon territoire, je me mis à sortir un sourire commerciale et a changé l'ambiance qui m'entourait, pour le faire extrêmement menaçant à son encontre.
Il s'arrêta net.
Sauf entrainement pousser, l'instinct prendra toujours le dessus lors d'un danger.
-Enchanter professeur Ren. dis-je simplement.
Il hocha la tête, toujours sous le choque.
Alan se pencha vers moi :
-Vas-y doucement, Nel. Je sais que tu es agacé et sous tension, mais tu dois te maitrîser !
Je le fusilla du regard, il me fit un grand sourire.
-Ne m'appel pas Nel ou je te rend aveugle pour de vrai...
-Ne commençait pas, tout les deux ! entendons derrière nous.
On se retourna en même temps, pour apercevoir ... Eloise.
-Euh, je vais aller dormir, pour de vrai cette fois ! fit Alan, en commençant à partir.
Eloise le retint par l'oreille et lui hurla :
-N'essaye même pas de t'échapper ! Qu'est ce que vous me cachez tout les deux ? Entre grand-père qui disparaît soudainement, et votre comportement étrange de ce matin !
Je recula de quelques pas, tendu.
Dans le classement de ma famille, Eloise était la troisième plus douée.
Moi-même, je détestais me battre contre elle !
Irena nous observait, amusée.
La plupart des élèves s'étaient arrêter de bouger, et nous regardaient.
Eloïse compris vite, qu'elle ne tirerait rien d'Alan et se tourna vers moi.
-Lioneell ? fit-elle d'une voix mielleuse, en lâchant notre frère.
Elle se dirigea vers moi, d'un pas décider.
Je me mis en garde.
Elle tourna autour de mon périmètre, d'un pas grâcieux et rapide, tél une lionne autour de sa proie.
Mon amusement repris le dessus : ma soeur serait un bon anti-dépresseur, après tout !
Je baissa ma garde et pris un air nonchalant, feignant de bailler, comme Alan.
Elle prit cela comme une invitation, et fondis sur moi.
On enchaînait coup de poing et coup de pied, changeant d'art martial, à chaque coup.
J'esquivais ou attaquait celon la situation, prudent.
Lorsque sa frustration eut atteint son paroxysme, elle perdit de sa concentration et je me jetta sur elle, tél un chat et la coinça d'une clef de bras, par terre.
Elle ne pouvait plus respirer, à présent.
-Abandonnerais-tu tes investigations, grande soeur ? demandai-je, poliement.
Elle fit mine de se débattre un peu et me tappa deux fois le coude, signe qu'elle se rendait.