• 21

    Je m'éveilla de mon sommeil sans rêve, lové sur un coussin assez confortable.
    J'étira mes pâtes en baillant et observa autour de moi.
    Nous étions dehors, dans une sorte de mini-jardin remplit de fleu.
    Une silhouette était là, debout, peignant une peinture que je ne pouvais voir. Voyant juste sont enthousiasme dans ces coups de pinceau, la peinture devait lui plaire.
    Un soupir sur mon côté me fit lever la tête en sursaut.
    Une autre silhouette encapuchonné était assise là, lisant un journal écrit dans une langue que je ne connaissais pas...
    Je miaula doucement.
    Le journal se baissa et la capuche se tourna vers moi :
    -Enfin réveillé, Sasha ? Il était temps ... je commençais a m'inquiéter !
    Je m'assis et observa.
    La silhouette baissa sa capuche et je vis un homme aux cheveux violets.
    Curieux, je m'approcha de lui et grimpa sur ses genoux, le fixant droit dans les yeux.
    Il me laissa faire, puis me caressa et se présenta :
    -Chère Sasha, je me nomme Dom Aegil. Je suis un Sicarius, même si je sais que ça te ne dira pas grand chose. Je suis une connaissance de ton père. Sois sans crainte, tu es en sécurité ici. Peux-tu te retransfomer ?
    Je fis non de la tête.
    -C'est embêtant. Amica mea, as-tu une idée pour qu'il redevienne humain ? Même partiellement, pour que l'on puisse avoir une conversation, disons, normal ?
    La deuxième silhouette, à laquelle il s'été adressé, releva aussi sa capuche.
    Une femme magnifiquement belle et ensorcelante était là, tenant son pinceau.
    Elle avait, comme l'homme, des cheveux et des yeux violet.
    Sa peau de porcelaine faisait d'elle une personne presque irréelle.
    -J'ai peut-être une solution... soulmate meum ! s'exclama t'elle, l'air fière.
    -Je t'écoute.
    Elle s'approcha et me caressa le bas du menton jusqu'à la gorge ... c'était détestablement agréable.
    Plusieurs ronronnement m'échapèrent.
    Après plusieurs moments a joué le bruit d'un aspirateur, je me retransforma sans faire attention.
    Evidemment, ce n'était que partiellement.
    J'avais toujours mes oreilles, mes griffes et ma queue de chat, mais j'avais déjà l'air plus humains...
    J'éternua, car évidemment, j'étais tout nu.
    Je sentis le rouge mon monter aux joues.
    -Oh, mon pauvre petit feles ! Il te faut des vêtement approprié ...
    Elle eut l'air de ce concentré tout en me fixant.
    Au bout d'un moment, des vêtements apparurent sur moi, pile la bonne taille et confortable.
    Il y avait même un trou pour ma queue !
    -Ce n'est qu'un tee-shirt noir et une salopette mais je pense que sa fera l'affaire pour le moment ... comment te sent-tu, petit feles ? me demanda t'elle.
    Je me leva et constata ce que je portais. Un peu mal à l'aise je la remarcia :
    -Merci beaucoup madame, c'est très confortable.
    Elle m'ébouriffa les cheveux, échangea un regard avec l'homme et partit en riant.
    Son rire sonnait tél des clochettes... c'était magnifique !
    -Comment te sent-tu, Sasha ? fit l'homme.
    J'avais oublié sa présence... et me rassit a côté de lui, poussant le coussin :
    -Je me sent déjà plus à l'aise et moins perdu ... euh ... Dom Aegil ?
    Il hocha la tête :
    -Bien. Et si tu me racontais ce qui a bien pu se produire, pour que tu me contactes ?
    -Je vous assures que je n'en sais pas grand chose moi-même ... hier on m'a annoncé que mon père, qui est partit depuis un mois ne reviendra peut-être jamais ... puis un homme, Clay est venu nous apporter des messages ... et ce matin alors que je faisais la grâce matinée, un ami est venu me voir ... un zoanthrope ... il voulait m'aider a me retransformer ... et puis alors que des hommes dangereux avait forcer la porte de chez moi, le temps c'est arrêter ... alors j'ai pris le papier avec vos coordonnés et j'ai couru le plus loin possible de la maison ... puis je suis arriver je ne sais pas trop comment chez la police et ... le temps est revenu et ... je suis là.
    Il eut l'air à la fois perplexe et amusée.
    -Tu es là, en sécurité et en pleine forme, c'est le principal. Je vais prévenir ta mère que tu vas bien ... où tu préfères le faire toi-même ? me proposa t'il.
    Je fixa mes griffes et secoua la tête :
    -Je risque d'abîmer votre téléphone à cause de ces satanées griffes, mieux vaut que vous le fassiez. Merci d'avoir accepter de me récupérer.
    Il m'ébouriffa les cheveux en riant :
    -J'aime les enfants polis ! Ne t'en fais pas, je devais bien cela à ton père ! Et puis, disons qu'il y a comme qui dirait une petite bataille en dehors de ces murs, mieux vaut que tu sois ici que dehors, sache-le !
    Il se leva et je lui suivit, en bon garçon complètement perdu.
    Il me fit traverser de long couloir, passant devant de lourde porte fermer.
    L'on arriva vers une sorte de hall d'entrée tout de noir et blanc, comme si nous étions arriver dans une autre dimension. Il me fit signe de passé en premier une double porte sur la droite.
    Je le fis sans me faire prier et découvrit ... une autre salle contrastant totalement avec la première.
    Elle pétillait de couleur et de vie.

     


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