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    Je n'avais plus la notion du temps, à par lorsqu'Oberon venait me rendre visite pour me donner des nouvelles, ou me faire apparaître de nouveau livre.
    Il m'avais annoncer fièrement qu'il avait commencer à lire des livres humains pour me les amener ici.
    Les règles du lieu était stricte sur ce sujet : nous ne pouvions faire apparaître que ce que notre conscient ou insconcient connait.
    Un livre ne peut apparaître que si je l'ai déjà lu ou un gâteau que si j'en avais déjà manger.
    J'avais essayer de faire apparaître un ordinateur ou un téléphone mais je ne savais malheureusement pas comment ils étaient fabriquer, donc impossible.
    Pour m'amuser, j'avais passer mon temps a faire apparaître tout pleins de choses, ce qui me lassa au bout d'un moment.
    N'ayant aucune fatigue, je commença a m'ennuyé ferme.

    Alors que j'avais tout fais disparaitre, une fille apparut devant moi.

    Elle me donnait le dos et regardait fixement la mer.

    Je m'avança légèrement.
    Elle avait le regard vide, comme si elle n'était ici qu'a moitié.
    Sans même bouger, elle me demanda d'une voix monotone :
    -C'est ton monde intérieur ?
    -Oui ... répondis-je sans réfléchir.
    -Pourquoi ta tempête n'est pas là ? Quelqu'un te la prise ?
    -Ma tempête ? demandais-je, perdu.
    -Si tu ne l'as plus, c'est que quelqu'un te la prise. Si on ne te la rend pas, tu vas rester coincer ici pour l'éternité. J'espère un jour que quelqu'un saura te la rendre, sans elle tu n'es pas entière.
    Sa voix sans intonation me faisait me sentir comme face à un robot.
    Alors que j'allais lui rappliquer quelque chose, son apparence jusque là, enfantine, changea soudainement.
    Sa silhouette s'affina, ses cheveux bruns poussèrent jusqu'aux genoux, son visage perdit un peu de ses traits enfantins.
    Elle avait grandit à grande vitesse... qui était-elle ?
    -Je vois. L'histoire commence, donc. A bientôt, vampire.
    Et avant même que je pu dire quoi que ce soit, elle disparu comme elle était apparut : de nulle part.

    Pour me calmer de cette rencontre sans queue ni tête, je fis apparaître une table, des chaises et tout un tas de dessert et de chocolat chaud.
    C'est alors qu'une autre chose étrange apparut : une grande porte faîte de flamme bleu.


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