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    Résumé :

    Une énorme explosion.
    Une infection composant 3 phases.
    Je suis l'une des rares à être rester en première phase.
    Et voilà mon histoire.

     


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    Résumé :

    Un gêne étrange est apparu, juste après la deuxième guerre mondiale.
    Il a été garder secret, car seul le vieux pépé derrière moi le détenait.
    Mais lorsque je fus découverte, cela changea la donne et l'île fut construite.
    C'est là bas que je vis à présent, à mon rythme.

    A cause de ce gêne, des surnoms nous ont été donner : "Les gardiens des mémoires" , "Les gardiens du savoir" ... mais le plus connu reste "Les Eternels".

     


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    Résumer :

    Ce réveiller dans un champ de blé, d'un monde inconnu, en ne se souvenant que d'un lointain souvenir cliché d'un amour perdu...
    Et seulement deux mots pour me guider : "Retrouve-toi"


  •                                            Nouvelle ~ Zombie.

     

    2045, la 3eme guerre mondiale est déja passer et la terre n'est plus qu'une planete detruite.

    Cette dernière guerre était un grand melange : atomique, chimique, radioactive et surtout mecanique. Les trois quart de la terre sont detruit et 3 personnes sur 5 sont mort dans cette guerre destructrice. Sur les 2 personnes restantes, une est malade et est devenu un zombie. Toujours vivant, mais gravement malade. Les gens devenu zombie perdent beaucoup de sang, qui est alors devenu leur nourritures principale. Ils n'ont plus aucunes raisons et d'humanité : ils sont apathique et stupide mais dangereux. Seul, ils sont vulnérables, mais lorsqu'ils sont en meutes .... il vaut mieux s'enfuir en courant le plus vite possible. Ils sont près a tout pour ce nourrir et avoir du sang. Mais bon ... pour les tuer, c'est relativement simple : un bon coup dans la tête et ils meurent direct ! Du cote humain, ceux qui ont survécu et qui sont encore vivant et normaux son moins de 100, mais on se serre les coudes ! Lorsqu'on sort de notre abris général, c'est pour aller chercher des choses qui nous sont nécessaire. Mais on ne sort jamais sans notre panopli "A.Z" comme on l'appel. Oui, "anti-zombie". Chacun a la sienne. Seul quelques un d'entre nous pouvons sortir. Mon arme ou plutôt mes armes : une tronçonneuse bien aiguiser et un couteau de cuisine bien tranchant a souhait.  La, je suis dehors. Depuis que je suis sorti de l'abris, j'en ai eu 10. Eh oui, je suis devenu une denrée rare de ce monde, je fais donc partie de la nouvelle chaîne alimentaire : les animaux en "bon état" sont transformer en boite de conserves qui sont mange par les humains, et les humains sont manges par les zombies. La chaine s'arrête la. Pourquoi ? Eh bien, tout les végétaux ont était annihiler par la guerre, et l'eau est tellement pollue et radioactive que les poissons sont malade. Il y a des débris partout, mais je continu d'avancer. A l'abris, nous avons besoin d'un moteur de voiture en bon état et d'autres boites de conserves. Je suis seul. J'entend des pas. J'observe les alentours. Je ralentis ma respiration. J'entrevois une ombre. Elle avance lentement vers moi. Les zombies voient et sentent mais se repèrent surtout au bruit. Je m'apprête a allumer ma tronçonneuse. L'ombre s'avance, c'est une femme. Elle marchait lentement vers moi. Je sortis mon couteau. Humaine ou zombie ? Mes pensées tournée en rond dans ma tête. Je vis alors du sang sur son tee-shirt. Du sang dégoulinait de son nez. Voir sa me dégoûta, mais j'en conclu qu'elle était zombie. Des qu'elle fus assez proche, je pris mon couteau et l'égorgea.  Je soupira de soulagement. Soudain, je sentis une main froide sur mon épaule. Un zombie que je n'avais pas vu, était arriver par derrière et s'apprêter a me mordre et me bouffer...

    -Merde ! hurlais-je.

    Puis tout devint noir.

    J'étais mort a cause d'un abruti de zombie !

    - A table ! cria ma mère de la cuisine.

    Je soupira, posa ma manette et mon Occulus rift puis descendis manger...

     


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    Je courais... 

    Je ne sais pas pourquoi, mais je me sens en danger, poursuivie...

    Je cours. "Droit ! Droit devant !" me crie mon instinct.

    J'aperçois une grue. Je sens un regard, fixé sur mon dos.

    Ce regard me fixe intensément. On veut me tuer.

    J'ai peur. J'ai du mal à respirer.

    Je m'arrête au pied de la grue.

    Rien à droite, rien à gauche.

    Je monte ? Non...je serais coincée. Alors que faire ?

    Je décide de contourner la grue.

    Bingo ! J'ai vu juste ! J'entends leurs pas, ils arrivent.

    Je réajuste mon sac.

    Sans réfléchir, je monte dans ce grand building.

    Il est neuf et vide, mais les lumières marchent.

    J'appuie sur le boutons d'ascenseur.

    Heureusement, il s'ouvre sur le moment.

    Je me précipite dedans et j'appuie sur deux boutons.

    Les portes se referment. Un cour instant de répit. 

    Je me détend un peu, toujours sur mes gardes.

    Mon sac à dos est lourd. Pourquoi me poursuivait-il ?

    Je n'ai rien fait de mal ! A moins que ce ne soit qu'un rêve....très réaliste.

    Mais pour le moment, ma situation était cauchemardesque.

    Ils nous poursuivaient. Nous avons été découverts. Il a fallu qu'on se sépare.

    Me séparer de lui m'était insupportable. Où était-il d'ailleurs ? Il en met du temps...

    L'ascenseur s'arrête et s'ouvre. L'étage est silencieux.

    C'est inquiétant...je pose la boîte là, devant l'ascenseur.

    Les portes se referment et l'ascenseur continu de monter.

    Je commence à paniquer. Est-ce que ça va marcher ?

    Les portes s'ouvrent. Enfin le toit !

    Cette montée était interminable !

    Je me dirige vers le bord du toit, ils sont presque tous à l'intérieur.

    Ils risquent d'arriver bientôt en haut. 

    Je monte sur le bord du toit.

    Le vertige m'effraye.

    Mais... tout va bien, ils ne m'attraperont pas.

    Je me penche.

    Je peux sauter. Je dois sauter. Me faire attraper n'est pas une option.

    Tout a été prévu.

    Je mis un temps fou à prendre ma décision.

    La porte du toit s'ouvrit. Ils étaient là, furieux et surpris à la fois.

    -Descends et rends-toi calmement !

    -Jamais ! leur criai-je.

    Et ... je sautai. 

    L'air fouettait mon visage.

    Quand je sentis le bon moment, je tirai la languette de mon sac à dos.

    Le parachute se déploya. 

    Mais quelqu'un eut la mauvaise idée de tirer dessus.

    Je me sentais perdue, je vais mourir là, en tombant...

    -Et alors ? me dit une petite voix aiguë.

    -Alors ma chérie, il est tard et c'est l'heure de dormir ! Je te raconterais la suite demain, d'accord ?

     -Allez, dors ! Bonne nuit !

    Je me levai du lit, bordai ma petite puce, éteignit la lumière et fermai la porte.

    La suite sera peut-être pour demain, qui sait ?!


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