• 44

    Elle rit de ma réaction.
    -Il n'y a pas meilleur endroit pour un rassemblement de sorciers !
    Ca, c'était sur...
    -Tient, regarde ! La voilà !
    Elle pointait du doigt une sorte de dôme de brume, au-dessus de la mer.
    Lorsqu'on passa la brume, ce qui m'avait un peu effrayer, apparut alors une île magnifique !
    L'île possédait quatre coin et un au milieu, ou trônait une sorte de palais géant.
    Les quatres coins, je voyais du premier coup d'oeil, que chacun représenter une saison.
    D'un côté, une prairie verte, ayant des petit villages, en face, une île remplit de neige, encore en face, une île pleine de feuille morte et encore en face, une île possédant une grande ville lumineuse.
    Le tout former un carré.
    Chaques îles étaient relié par une sorte de pont étrange.
    Mais l'île du milieu, n'avait rien à voir avec les autres.
    Elle possédait le château, plusieurs jardins, et une sorte de village d'où j'entendais déjà du brouhaha.
    Ca me paraissait si animé...
    J'observa Ethan.
    Il avait l'air triste.
    Je m'approcha de lui :
    -Ne t'inquiéte pas, tout ira bien !
    Il secoua la tête :
    -Je ne m'inquiéte pas vraiment pour la cérémonie ... j'espère juste, que mon favoris n'a pas encore fais de bêtise !
    Ah.
    Ca, ce n'était pas de mon ressort...
    On finit par se poser à l'entrée du village du milieu.
    -C'est super beau ici ! s'exclama Mélina.
    -Oui, ca à l'air amusant ! répondis-je, enthousiasme.
    Niky, Gaby et Dany me fondirent dessus, de je-ne-sais-où :
    -Jenne ! Bienvenu à Spella !
    Ils me serrèrent tous dans leur bras et ... se mirent à me parler tous en même temps, de sorte que j'avais la tête qui tourner.
    -Dis donc, vous ! Laissez la un peu respirer on vient de voler pas mal d'heure quand même ! s'exclama Mélina en prenant ma défense.
    Les triplets reculèrent, alors que son lion venait de sortir de son ombre.
    Celui-ci vint me lécher, et me chatouilla le visage de sa crinière.
    Je ris.
    -Jenne, allons-y, Véronica nous attend. Ethan et Mélina venait aussi ! S'exclama mon père.
    On le suivit, pendant que les triplets me faisait une visite guider.
    Beaucoup de personne se retourner, sur notre passage.
    Ici aussi ?
    -Tu es puissante et Mélina aussi. Les gens le sentent. expliqua Gaby en me serrant contre lui.
    On marcha jusqu'au palais, où les triplets s'arrêtèrent devant la grille :
    -On ne peut pas entrer, pour le moment. On se retrouve ce soir ! firent-ils en repartant.
    On entra dans le palais.
    Véronica se trouvait dans le hall :
    -Enfin vous voilà ! Ethan, le sage Zaka voudrait te voir ! Il se trouve dans son bureau !
    Celui-ci hocha la tête en soupirant et monta les escaliers de droite.
    -Laurent, peux-tu aller chercher les capes noirs ? Les nouvelles roses sont censé arriver, et vous, les filles suivez moi !
    On suivit Véronica dans l'escalier de gauche.
    Je l'admirais pour son aplomb de pouvoir commander n'importe qui.
    -Le trac ? fit Véronica en m'observant.
    Je secoua la tête :
    -Non. Je suis prête !
    -Bien. Suis cette état d'esprit, alors !
    Elle me montra du doigt, une porte sur la gauche :
    -Rentre et patiente. Suzanne devrait arriver...
    J'entra dans la pièce.
    Elle ne possédait qu'un placard, un sofa, et une petite table.
    Je m'assis sur le Sofa, détendu.
    Sans m'en rendre compte, je m'endormis.

     


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  • 26

    -Tu es en train de me dire que Nicolas est parti traquer ce type ??

    -Lily, soit tu mange, soit tu pose des questions, mais pas les deux à la fois ! s'écria t'il. Enfin ... oui il est parti mais lorsque ce type a plongé dans la seine, ils ont essayer de retrouver sa trace ... sans succès, malheureusement.

    -Vous... vous avez prévenu Léo ? demandai-je; hésitante.

    -Non. Le nid a demandé a ce que Léo ne soit pas au courant ... sa risquerai de ... mal finir. Pour tout le monde ...

    -Mmm... approuvais-je en mangeant.

    -Et toi ?

    -Tu es blessante Lily ! Je suis le plus vieux, je sais me retenir et me tenir ! Léo par contre est plus ... impulsif. Heureusement qu'il n'est pas encore rentrée ...

    Je baissa les yeux.

    -Et ? demandai-je pour savoir la suite.

    -Et ils sont toujours a sa recherche ... mais sa piste à l'air de s'éloigner de la ville. Je resterai avec toi jusqu'à ce que l'on retrouve. Bien, tu as fini ?

    Je venais a peine de prendre la dernière bouchée.

    J'hocha la tête.

    J'entendis quelque chose vibré.

    Lias décrocha son téléphone :

    -Allo ? [...] oui ? [...] Je suis au courant ... [...] non, pas encore ... [...] surement [...] avec moi [...] très bien. [...] D'accord, on rentre. [...] A tout de suite.

    Il raccrocha.

    -Lily, si tu as fini, on va rentrer à la maison. Sophia a appelé maman pour lui dire que Lias était sur le chemin du retour. Il ne doit rien savoir ... est-ce clair ?

    J'hocha la tête.

    On se leva donc et je le suivis.

    En regardant derrière, je vis la serveuse se précipiter sur notre table pour débarrasser.

    -Dis Lias ...

    -Oui ?

    -Tu as déjà voulu naître humain ?

    Il me fixa avec attention, puis soupira :

    -J'y ai déjà penser. Mais non, je préfère être un vampire ... pourquoi me demandes-tu cela ?

    -J'étais en train de penser que les humains était très courageux ... travailler toute leur vie en ne sachant rien de leur lendemain ... travailler pour survivre alors qu'ils peuvent mourir a tout moment ...

    -Mais ils ont peur de la mort.

    -Comme moi ...

    Il soupira a nouveau et me tendis la main.

    Je la pris et la serra très fort.

    -Moi je n'ai pas peur de la mort, parce que je sais qu'elle peut arriver n'importe quand ! dis-je, avec fierté.

    Mon frère m'observa, me dévisagea avec attention. Je vis un éclat de douleur dans ses yeux.

    -Lily ... est ce que ... non, rien oublie. Tu veux qu'on aille jouer dans la forêt au lieu de rentrer ?

    -Ok ! Je suis partante ! m'exclamais-je ravie.

    ----------------------------

    On venait d'entrer dans la forêt, lorsqu'une silhouette nous fit sursauter en atterrissant.

    Mon frère, par réflexe, faillit décapiter la silhouette, avant de se rendre compte de qui c'était.

    -Toujours aussi dangereux ... s'exclama Adrien.

    -C'est toi qui apparaît toujours n'importe comment ... s'exclama mon frère.

    -Bon, Lily, comment vas-tu ?

    Je le fixa quelque seconde avant d'hausse les épaules.

    -Tu permets ? me demanda t'il en posant une main sur mes yeux et en enlevant mes lunettes simultanément. 

    Je ne voyais plus rien, naturellement, mais sa me faisait du bien.

    Je sentais une sorte de chaleur être dégager de sa main.

    -Elle a fait un semi-réveil ... entendis-je résumé Adrien. Je vois, j'ai compris ...

    Il enleva sa main.

    -Ouvre les yeux, doucement.

    Je le fis.

    La lumière filtrer par les arbres étaient tamisée. Je pus donc ouvrir mes yeux.

    -Alors ?

    -Je n'ai plus mal aux yeux ...

    -Bien ! fit Adrien en me tendant mes lunettes de soleil.

    Je les pris.

    -Qu'en as-tu déduit ? lui demanda mon frère.

    -Elle doit boire du sang. Même si ce n'est qu'une goutte ... sinon elle risque de s'endormir un long moment ... une sorte de coma indéfini qui risque d'arriver dans pas longtemps... ton organisme est fatigué Lily. C'est comme si on avait donner des gènes de vampire a un faible corps d'humain. Il ne résistera pas longtemps... tu penses pouvoir le faire ?

    Je fis non de la tête.

    -Rien que m'imaginé avoir du sang dans la bouche ... je frissonna a cette idée.

    -Et si nous mélangeons une goutte de sang dans un gâteau bien sucrée ou tu ne sentirais même pas le sang ?

    -Euh ... je ne sais pas ... faudrait essayer ... dis-je en haussant les épaules.

    -J'en référerais à ma mère. As-tu des nouvelles ? demanda Lias.

    -Oui et non ... Nicolas est blessé légèrement. Ah ! Et Léo vient de rentrer. Il ne va pas tarder a venir ici...

    -Nicolas est blessé ? répétais-je, inquiète.

    -Oui, la cible lui a envoyé une sorte de fléchette dans le bras et dans la jambe. Il est en train de récupéré, ne t'en fais pas.

    -Où est-il ?

    -Au nid. Tu vas y aller ?

    J'hocha la tête.

    -Alors allons-y ! fit Lias en commencent a courir.


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  • 42

    On arriva a l'orée de la forêt. 

    Il ralentit puis s'arrêta.

    -Pourquoi tu t'arrêtes ? demandais-je.

    -A partir d'ici, on doit attendre Ozan. On ne peut pas pénétré seul, sinon on risque de se faire attaquer. Ce manoir est une véritable forteresse...

    -Qu'est ce qui s'est passé cette nuit ?

    -Je t'expliquerai tout une fois que tu seras en sécurité !

    -Parce que je suis en danger ?

    -Exacte ... le voilà !

    En effet, je vis un gros et grand loup noir poilu se dirigeait vers nous à toute allure.

    Voilà a quoi ressemblait un vrai loup-garou transformer ...

    Celui-ci nous fit signe de la tête de le suivre.

    Axel redémarra la moto et le suivi a travers un chemin sauvage mais plat.

    On arriva rapidement devant le manoir.

    Ozan entra dans le manoir et ressortit sous forme humaine.

    -Bonjour Ozan ! dis-je en souriant.

    Celui-ci me fit un sourire et me salua de la tête.

    Il ouvrit la porte en grand et nous fis signe d'entrer.

    -Avec la moto ! fit Ozan à l'adresse de mon frère.

    Axel redémarra la moto et entra dans le manoir.

    Ozan referma la porte derrière nous.

    Je descendis de la moto et j'enleva mon casque.

    Axel fit de même.

    -Je ne m'attendais pas à vous revoir aussi vite, les enfants ... releva Ozan.

    -Notre père ne t'a rien dit ? demandai-je.

    -Non. mais Dom Aegil m'a demandé de venir vous cherchez, c'est qu'il doit être au courant... par contre je vous préviens ... surtout toi, Axel. Préparez-vous, car Madame et le jeune maître son aussi présent aujourd'hui. Ne faites donc aucun geste déplacer. Est ce clair ?

    On hocha la tête.

    Je pris la main d'Axel et je la serra fort.

    Il me répondit par une pression.

    -Suivez-moi. fit Ozan.

    Il nous fit traversé le salon gigantesque de la fois précédente et nous fit passer par une porte -qu'une fois encore- je n'avais pas remarqué.

    On arriva ... dehors. Dans une sorte de mini jardin, remplie de fleur aussi belle, les unes que les autres.

    Dom Aegil était là, encapuchonné, debout.

    Debout devant un chevalet à sa taille. 

    Il peignait. Il peignait ... il peignait quelque chose qui me semblait familier.

    -Bonjour Dom Aegil. dis-je en me mettant à côté de lui.

    Il sursauta.

    -Aria ! Je ne t'ai pas senti approcher ! Comment vas-tu ?

    -Bien ! Dite-moi, Dom Aegil, qu'est ce que vous peignez ?

    -Pourquoi me demandes-tu cela ?

    -Parce que sa me semble familier.

    -Je vois... 

    Axel s'avança, tandis qu'Ozan paraissait surpris.

    -Salve Dom Aegil. Merci beaucoup d'avoir accepter la demande de mon père...

    -Axel ! Ne t'en fais pas, c'est un plaisir de vous recevoir ici, même en des circonstances pareils ... certaines races n'ont pas compris qu'elle est leurs place et quelles sont leurs limites ... c'est malheureux tout de même !

    Je remarqua alors qu'une silhouette encapuchonné était assise sur un sofa à côté de la porte.

    Dom Aegil dû voir ma curiosité, car il s'exclama :

    -Aria, je te présente uxor mea, Vesna. Vesna, je te présente Aria, la jeune fille dont je t'ai parlé.

    La silhouette ne bougea pas.

    -Ozan, tu peux disposer. Merci de les avoir escortés ici ! fit Dom Aegil.

    Ozan s'en alla, comme il fut ordonné.

    C'est alors que la silhouette bougea et ... se précipita vers moi pour m'enlaçais très fort.

    -Ariaaaaa !!! Je suis tellement contente de te voir enfin ! De pouvoir enfin te serrer dans mes bras ! Si tu savais comme j'en ai envie depuis longtemps !!!!

    Je fus un peu sonné de toute cette euphorie.

    -Et si tu la laissais respirer un peu, Vesna ? proposa Dom Aegil.

    Celle-ci me relâcha toute en restant près de moi.

    Elle enleva sa capuche.

    Elle était magnifique. 

    Elle avait des cheveux raides d'un violet clair magnifique. Une peau assez blanche qui allait parfaitement avec la couleur de ses yeux. Ceux-ci était d'un violet qui ressortait magnifiquement bien. Ses traits étaient fin. Une beauté parfaite.

    -Vesna, le protocole ! Tu pourrais t'y tenir, enfin ! s'exclama Dom Aegil.

    -Aegil ! Ici, je ne vois que le sang des nôtres, même si en ce garçon (elle regarda Axel) il est plus faible, il l'est ! Donc tout va bien, non ? 

    -Vesna, ce garçon comme tu l'appelle, est le frère d'Aria. Le 2e fils de Karle, Axel.

    La Sicarius le dévisagea un long moment et s'approcha de lui.

    Axel paraissait nerveux.

    -Ne t'inquiète pas. Même si ce n'est qu'à trois quart, tu fais parti des nôtres, tu es donc de la famille. Chez nous, la famille est sacrée. Mais tu dois quand même ressentir un certain degré de peur en notre présence, non ? lui demanda t'elle.

    Il hocha la tête.

    -Et en présence d'Aria ? As-tu peur ?

    Il fit non de la tête.

    -Etrange ... pourtant tu devrais ... son sang est ...

    -Vesna ! l'arrêta Dom Aegil. Ce n'est ni le moment, ni le lieu pour en parler !

    Celle-ci gonfla les joues, l'air boudeuse. Même ainsi, elle restait magnifique...

    -Je ... je suis enchanté de vous rencontrez ... Dom Vesna ? fit Axel maladroitement.

    Elle secoua la main :

    -Appel moi simplement Vesna. Je suis un peu comme votre tante, après tout ... ma soeur est votre grand-mère. Je vous l'ai dit, non ? Vous êtes de la famille !

    Axel avait l'air de tomber des nues. Moi j'étais simplement ... surprise.


  • 41

    -Aria, réveille toi ! Aria ! entendis-je.

    Je me frotta les yeux en m'asseyant sur mon lit a moitié réveillé.

    Il faisait tout noir. Je sortis une boule de feu bleu qui éclaira faiblement la pièce.

    Mes yeux virent à peu près bien.

    -Papa ? demandai-je.

    -Aria, écoute moi bien. Eren n'est pas encore rentré et ce n'est pas normal. Larry m'a donc demandé d'aller le chercher. Il se pourrait qu'il ait des ennuies. (j'ouvris la bouche mais il me stoppa) Aria, ne t'inquiète pas, je suis sur que tout ira bien, d'accord ? Axel devrait rentrer d'une minute à l'autre. Si à 10 heure personne n'est encore rentré, va chez Dom Aegil avec des affaires, d'accord ? Tu seras plus en sécurité là-bas, qu'ici toute seule. Tu me le promet ?

    J'hocha la tête, sous le choc.

    -Bien. Maintenant rendors-toi. Il n'est que 3 heure du matin. Bonne nuit ma chérie ! me dit-il en m'embrassant sur le front et en m'aidant a me rallonger.

    Choc ou pas, je me rendormis comme un bébé, sans m'en rendre compte.

    ------------

    J'ouvris les yeux et m'assis sur mon lit.

    Je repensa à ce qui s'était produit cette nuit.

    Un cauchemar ? 

    Apparemment non, car ma boule de feu lévitait toujours au-dessus de moi.

    Je me leva et m'habilla.

    Le soleil était déjà levé.

    Je regarda l'écran de mon portable affichant 9h10.

    -Bientôt 10 heures ... murmurai-je pour moi-même.

    Je prépara mon sac au cas où avec ce qui m'était nécessaire et indispensable.

    Je me coiffa d'une queue de cheval et descendit dans la cuisine.

    Je me servis un bol de céréale avec du lait.

    Alors que je venais de finir, le téléphone de la maison sonna.

    Je me leva pour aller répondre. 

    Mais avant même que je ne mette la main sur le combiné, Axel entra par la porte d'entré en trombe en hurlant :

    -Ne répond pas ! C'est un piège !

    Il me sauta dessus et me serra fort contre lui.

    -Aria, Papa m'a donné des instructions et ma dit qu'il t'avait prévenu. Ton sac est prêt ?

    J'hocha la tête, calmement. Il me lâcha.

    -Bien. Alors on y va maintenant ! Pas besoin d'attendre 10 heures ! C'est vraiment devenu le bordel d'un coup ! Prend ton sac ! On se barre ! s'exclama t'il en montant les escaliers. 

    J'alla chercher mon sac et je redescendis.

    Il m'attendais déjà dehors, assis sur sa moto, alors que je fermais la maison à clef.

    Il m'installa rapidement, casque visser sur la tête et démarra en trombe.

     

     


  • 01

    -Cela vous feras 2,50€ , s'il vous plaît ! dis-je d'un sourire commerciale.

    La personne me tendis l'argent et s'en alla, emportant sa baguette de pain.

    Je travail en tant que serveuse dans une boulangerie. 

    Dans la vie en général, je suis seule.

    Pas de vrais amis, de la famille mais n'en étant pas très proche, je les vois rarement.

    J'ai appris a vivre seule et à présent sa ne me dérange plus.

    Mais la vie est dure.

    Je n'ai que 19 ans , mais je vies déjà seule dans un studio, et je paye mes études avec mon salaire de serveuse.

    Je ne suis qu'une jeune fille brune aux yeux noir, comme il y en a tant.

    Je suis d'une banalité affligeante mais je fais ce que je peux pour survivre...

    Je ne suis jamais sortit avec un mec, sa ne m'a jamais vraiment interresser. 

    J'ai appris il y a déjà longtemps que le prince charmant n'existait pas ... alors pourquoi attendre quelque chose qui n'arrivera jamais ?!

    -Clara, ça va ? Tu as les yeux dans le vagues ...

    Je leve les yeux.

    -Désolé ... je réfléchissais... répondis-je à ma supérieur.

    -Va prendre ta pose si tu veux. Il n'y a pas beaucoup de monde aujourd'hui ...

    J'hocha la tête calmement et partit pour notre sale de repos, l'allonger un petit peu.


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