• 32

    -C'est magnifique ! m'exclamais-je, séduite.

    -Oui, mais pas que ... tu ne ressens rien ? me dit-il en cherchant quelque chose sur mon visage.

    Je ferma les yeux. Non, je ne ressentais rien de ... si. 

    -Si, je ressens quelque chose de spécial. (J'ouvris mes yeux) Ma boule de sentiment à disparu ! 

    -Qu'appel-tu ... "boule de sentiment" ? demanda t'il, l'air curieux à présent.

    Je lui fit un résumé assez court des événements récent.

    Lorsque j'eu terminé, il y eut un silence un peu étrange.

    Une chauve souris vola près de nous.

    -Dom Aegil, pourquoi avez-vous dit à mon frère qu'il ne pouvait pas venir ici ? Qu'a ce lieu de si spécial ?

    Il releva la tête et la tourna vers moi :

    -De cette fenêtre, nous les Sicarius pouvons sortir sans se cacher et être tranquille. Si nous sortions dehors d'ici, la forêt est considéré comme notre jardin. Nous serons donc sur notre territoire.

    -Et si vous sortez par la porte d'entrée ?

    -Eh bien, le sort ne fonctionnera pas et nous devrons sortir encapuchonné.

    -Ah oui ! Pourquoi portez-vous une capuche d'ailleur ? Tout à l'heure, vous aviez commencer vos explications ...

    -Chaise ! s'exclama t'il en claquant des doigts.

    Deux chaises apparurent, il m'indiqua de m'asseoir d'un geste, pendant qu'il faisait de même.

    -Lumière ! recommença t'il.

    Des bougies suspendu dans le vide au-dessus de nous apparurent de nulle part.

    J'étais souffler.

    -Comment ? C'est incroyable ! m'exclamais-je, émerveiller.

    -C'est mon pouvoir. Pour répondre à ta question, nous, Sicarius sommes des ... créatures de prestige, comme dises les chasseurs. Nous sommes considéré comme des nobles. Des créatures des hautes sphères. Nous avons le respect de toutes les espèces. Nous ne pouvons donc pas nous montrer impunément n'importe quand à n'importe qui. Car la couleur de nos cheveux et nos yeux montrent à quel race de Sicarius nous faisons parti.

    -Pourquoi ? Il y a plusieurs ... race ? dis-je, mal à l'aise sur le dernier mot.

    -Oui, il y a en tout sept race de Sicarius qui se réfèrent à ce que les humains appellent "pécher capitaux"... regarde.

    Il enleva sa capuche. Je fus frapper de voir à quel point il ressemblait vraiment à un humain.

    Il avait le visage d'un homme d'une trentaine d'année. La seul chose qui sortait de l'ordinaire était ses cheveux et ses yeux qui était ... de couleur violet. Comme moi.

    -Je vais t'expliquer, nous ne sommes plus aussi nombreux qu'avant. Mais il existe encore chacune des races à travers le monde. les Sicarius de type violet, comme moi, représentons la luxure. Ceux de type Jaune, l'orgueil. Ceux de type Vert, l'avarice. Ceux de type noir, l'envie. Ceux de type gris, la paresse. Ceux de type Orange, la gourmandise. Et enfin, ... ceux de type Rouge, la colère... m'expliqua t'il en énumérant chaque race sur ces doigts.

    A la fin je fus déçu. Etais-je une exception, une sorte de monstre, même chez eux ?

    -Qu'y a t'il ?

    Il me fixait de ses yeux violet.

    -Je ... il n'y a aucun type bleu, n'est ce pas ?

    Il se pinça les lévres :

    -Je suis désolé, Aria mais je ne peux pas parler de ce qui te concerne. Pas encore... tant que je n'en ai pas la permission, ma bouche restera close.

    Je fus intrigué et à cette réponse, des dizaines de milliard de question apparurent dans ma tête.

    -Pour continuer, chaque race à un pouvoir étant en rapport avec son ... pécher (il sourit), enfin, voilà. Je fais parti de la luxure, il est donc évident que mon pouvoir soit en rapport avec la volonté d'obtenir tout ce que je désire...

    Je souris. Voilà donc l'explication de son tour de magie.


  • 21

    -Lily, s'est fini ! Tu peux te réveiller ma puce ! Lily !

    La voix de ma mère. Cette voix qui m'a toujours apporté du réconfort depuis toute petite.

    Cette voix qui m'a élevé et fait grandir...

    J'ouvris les yeux.

    Je n'étais plus dans la chambre du nid. J'étais dans ma chambre.

    Lias était a côté de moi, soutenant ma tête de son bras.

    maman était penché au dessus de moi, le regard inquiet.

    La lumière me faisait mal aux yeux.

    Elle parut le remarqué et ferma les rideaux.

    -Ca va mieux ?

    J'hocha la tête.

    -Lily, j'ai vu ce qui s'est passé. C'est tout à fait extraordinaire ! J'ai cherché la solution dans toute nos archives possible et existante mais je n'avais rien trouvé ! Et toi, toute seul tu t'éveil ... je suis si contente, ma puce !

    Je pris du temps a ingéré l'information jusqu'à mon cerveau.

    -Hein ? demandai-je comme une niaise.

    -Etrangement, tu as la capacité de t'éveiller seul. Disons que tu es comme une demi-vampire pour le moment. Je ne sais pas encore quels sont les composants pour t'éveiller, mais tu sais le faire toute seule ! Tu es capable de t'éveiller entièrement ou de t'endormir ! s'exclama ma mère l'air heureuse et surexcité.

    A mon expression, Lias souris :

    -Disons, que ce que veux dire maman, c'est que tu as comme un interrupteur en toi qui fait que tu peux switcher entre vampire éveiller ou vampire endormi, ce que tu était jusqu'à maintenant...

    Je commençais à comprendre. 

    -Donc ... je vais devoir commençait à boire du ...

    -Non. Pas pour le moment. Je ne sais pas pourquoi tu t'es éveillé soudainement et pourquoi cet ... interrupteur (?) appelons-le comme ça, est apparu. Pour le moment, tu es endormi.

    -Ok... dis-je seulement.

    Je me rappela soudain ce que je m'étais fait là-bas.

    Je porta mes mains à ma gorge. Il n'y avait rien.

    Aucun bandage, aucune blessure.

    Je tourna la tête vers Lias.

    Il rit :

    -Va falloir t'habituer ! En t'éveillant, tes gènes de vamp' t'ont guérie instantanément. Nous sommes invulnérable. La seule façon de nous tuer est au moyen de magie noir et des éléments naturels. D'ailleurs quand tu étais éveillé, as-tu ressentis quelque chose ... se débloquer ? Où d'anormal ?

    -Non ... je me souviens pas bien ...

    -Je vois... 

    -Bon, j'y vais ! Lias reste avec elle ! Fit maman en partant.

    Il y eut une minute de silence, pendant laquelle, Lias et moi nous fixâmes.

    -Bon, on fait quoi ? dit-il au bout d'un moment.

    -Si on descendait ? J'ai faim ...

    Il sourit.


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