• 24

    Il y avait un silence complet.

    Tout le monde profiter de ce moment particulier et intense.

    Certains fermer les yeux, d'autres lever les yeux en l'air ou d'autre jeter des coups d'oeil curieux.

    Moi j'observais les roses, tour à tour. 

    Ces sorciers légendaire formaient un cercle, là, juste devant moi.

    Ils avaient une beauté et une grâce indescriptible.

    Tous avaient les yeux fermer, bien concentrer.

    Je vis des larmes roulés sur la joue de la rose verte, Esi Kumba.

    En temps normal, j'aurais compatis et me serais mise à pleurer avec elle.

    Mais à cette instant, j'étais tellement exaltés par ce courant magique, que je ne ressentais rien d'autre que la joie.

    Les roses levèrent, soudain, chacune sa main droite.

    -Que la porte se forme ! firent-ils en choeur.

    Au-dessus d'eux, un trou noir commençait à se former.

    -Que la porte soit à présent, ouverte ! annoncèrent-ils.

    Le vortex s'ouvrit sur une pluie de fantôme, qui jaillissaient de la porte.

    -Bienvenu aux anciens ! hurla t'on, tous ensemble, en brisant le cercle.

    Les fantômes allèrent chacun vers les siens.

    Les sans-grimoires descendirent tous en se pressant.

    Les favoris, qui devait attendre en retrait la fin du cercle, se pressèrent autour de leur sorcier ou sorcière.

    -Alors ma chérie, comment as-tu trouver ta première cérémonie officiel ? me fit mon père en s'étirant.

    -C'était ... c'était ... extraordinaire ! Toute cette magie ... toute cette unité ! C'était unique ! m'exclamais-je.

    Il rit :

    -As-tu vraiment 17 ans ? On dirait une petite fille auquel on vient de donner un nouveau jouet...

    Je fis une fausse moue.

    Il rit de plus belle.

    Ma mère vint vers nous :

    -Alors ce cercle ? Epuisant, pas vrai ?

    -Pas du tout ! Je me sens en pleine forme ! dis-je en virevoltant.

    Ma mère eut l'air surprise.

    -C'était magnifique ce cercle ! J'ai hâte de pouvoir y participer aussi !!! Hurla Ben en arrivant en courant.

    -On ne crie pas dans un lieu comme celui-ci, mon garçon ! fit mon père en lui caressant la tête.

    La salle était pleine de brouhaha de toute façon...

    -Sinon, j'ai entendu que ce soir aller être une soirée extraordinaire ! s'exclama mon père.

    -Ah oui ? fis-je surprise.

    -Oui, ce soir, j'ai entendu que les partenaires des nouvelles roses vont être présenter, et peut-être les nouvelles roses elle-même.

    J'avala ma salive et respira doucement.

    Mon instinct ne m'avait pas trompé, il y avait bien quelque chose qui se tramait dans mon dos !

    -Les partenaires ? demandais-je, incertaines.

    -Oui, les roses, étant des êtres spéciaux et surpuissant ont un partenaires qui lui est attribué. En général, ces partenaires sont du sexe opposé à la rose qu'ils doivent servir. Une sorte de conseiller ou de majordome, si tu préfères...

    Sa, on ne m'en avait pas parler...

    -Et où sont les partenaires des roses actuel ? demanda Ben.

    Mon père et ma mère se concertèrent du regard.

    -Et si nous allions manger ? Le buffet est ouvert ! Allons-y ! dit-il en nous y entraînant.

     


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  • 26

    -[...] Je te dis que tout ira bien ! fit mon père, exaspérer.

    -Vous allez vraiment aller chez lui ? Tu es sur que c'est une bonne idée ? demanda ma mère une énième fois.

    -Malorie, on en a déjà discuter ! Il veut la voir, il pourra peut-être l'aider, ne t'inquiète pas, d'accord ? Fais-moi confiance !

    -Très bien. Mais elle a intérêt à rentrer saine et sauve, sinon je fais un malheur, Sicarius ou non ! 

    Mon père soupira et raccrocha son téléphone.

    -Bon, on a prévenu ta mère pour ce soir ... on continu ?

    J'hocha la tête et me releva.

    Il avait décider d'appeler maman pour la prévenir et ne pas lui faire de cachotterie.

    C'était une mauvaise idée, et je continuais à le penser ...

    Je me mis en garde.

    -De quoi se nourrissent les Sicarius ? demandais-je en donnant le premier coup.

    Il l'esquiva. 

    -De la même manière que les humains, en général. Le Sicarius est une créature se rapprochant le plus des humains. Autant physiquement que dans sa façon d'être...

    -"en général" ? demandais-je, curieuse.

    J'arrêta mon coup de pied en cours et baissa ma garde. Mon père en profita pour me mettre à terre.

    -Ah, désolé ... réflexe ! s'excusa t'il en m'aidant à me relever.

    -Et donc ? dis-je.

    -Ah ... euh ... disons que les Sicarius ont une envie plutôt ... grande pour ...

    -Pour ?

    -L'alcool.

    -Hein ?

    Je m'attendais à ce qu'il me parle de sang comme un vampire ou quelque chose de gore dans ce genre mais non.

    -Tu plaisantes ? continuais-je.

    -Non. Les Sicarius sont de grand amateur d'alcool. Ils ne ressentent pas les effets de celui-ci, mais ils aiment ressentir le goût, en quelque sortes...

    J'avais plus ou moins compris.

    -Alors en quoi le Sicarius est une des créatures les plus dangereuses et redoutés ? 

    Il leva un sourcil et souris :

    -Que tu l'ignores ne me surprend même pas ... il va falloir t'enseigner les bases. Pour faire simple, "Sicarius" signifie "Assassin". Les Sicarius sont connu pour être des créatures aux sang chaud et des mauvais perdant. Si on s'en prend à l'un d'entre eux, on en revient pas vivant. Ils ont l'art du meurtre dans les veines. C'est peut-être aussi pour cela que tu ne te sens pas rassuré... tu viens à peine de débloquer une nouvelle partie de toi. Tu es comme un nouveau né ...

    Je tiqua au mot "nouveau-né", mais je ne dis rien.

    -Bien arrêtons-nous là, pour ce qui es du combat à main nu. A présent, utilise tes pouvoirs !

    Je soupira :

    -On ne dit pas au "nouveau né" de ne pas jouer avec le feu ? dis-je sournoisement.

    Il rit :

    -Ton feu n'a pas l'air si dangereux ...

    Je fis sortir mes sphères et mon manteau de flamme encore plus rapidement que d'habitude.

    Comme il l'avait dit, je sentais mon sang bouillir d'envie d'en découdre et de gagner.

    -Prêt ? demandais-je, motiver.

    -Quand tu veux ! me répondit-il de bonne humeur.


  • 23

    Les portes de cette même salle d'où nous étions sortis s'ouvrirent devant nous.

    Chaque membres du premier cercle entra, accompagner de son favoris.

    Toute la salle avait changer d'ambiance.

    Chaque cercles étaient déjà former.

    Il ne manquait plus que mon cercle et celui des roses.

    Une bougie flotter au-dessus de chaque personnes.

    J'aperçu les sans-grimoires au deuxième étages.

    Ben et Sarah me firent un salut de la main.

    Je le leur rendis rapidement.

    Véronica nous avait expliquer comment nous disposer.

    Nous prîmes donc place dans notre cercle, qui, maintenant se composer de 13 personnes.

    J'étais entre deux aînés : une femme et ... mon père.

    Mon père ?! Quand est-ce qu'il était arriver ?

    -Papa ? chuchotai-je, pendant que Véronica distribuer des bougies.

    -Bonsoir, ma puce ! Je t'explique plus tard ! me dit-il avec un clin d'oeil.

    Véronica me passa une bougie en me chuchotant un "fait attention à ta dose magique".

    Je n'avais pas trop compris. J'observa les autres du cercles.

    Il allumait tous leur bougie à l'aide de leur baguettes. Je fis de même.

    Ma bougie s'alluma et alla flotter au-dessus de ma tête.

    Véronica était à sa place et avait aussi fini. Elle annonça :

    -Que la cérémonie de la Samain commence !

    Les roses prirent place à l'intérieur de notre cercle.

    Sans qu'elles ne firent rien, leur rose, sur le chapeau, s'envola au-dessus de leur tête.

    A ce moment là, des traits lumineux au sol apparurent. 

    Les traits relié chaque personnes de chaque cercles.

    Mon cercle avait les traits argentés et le deuxième cercle derrière moi, était relié de rose.

    Chaque années, voir se phénomène d'en haut était magnifique, mais en faire partie ... c'était extraordinaire !

    Le cercle des roses étaient le plus beau.

    Entre Suzanne Wheeler et Arthur Lux, un trait blanc.

    Entre Arthur Lux et Esi Kumba, un trait bleu.

    Entre Esi kumba et Jin Sakurai, un trait vert. 

    Et entre Jin Sakurai et Suzanne, un trait noir, qui fermer leur cercle.

    Je sentais une puissance indescriptible me parcourir.

     Nous étions tous différents et pourtant... nous ne formions tous qu'un, à ce moment précis.


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