• 007

    Ce matin, je m'étais réveiller... en pleine forme. Un peu mal à la tête, mais en pleine forme. 

    Mon état pathétique de la veille, n'était plus qu'un vieux souvenir honteux de ma mémoire. Je pensa à d'autres choses. Je sortis de chez moi à l'heure. Ce qui était rare, en temps normal. Mais sachant que j'étais rester allonger en train de dormir pendant 3 long jours, je ne pouvais pas rester en place. 

    -Il est là ! Encerclez-le ! hurla quelqu'un.

    J'étais proche du lycée. Il me restait un peu de temps. Je posa mon sac et ma veste par-terre. Je lissa mon jean et me mis en position. Les mecs en face eurent l'air surpris.

    -Bon, alors, c'est pour aujourd'hui ou pour demain ? Attaquez-moi, bon sang ! Vous vous êtes lever tôt exprès pour moi, et moi j'ai besoin de me défouler ! Ne me décevez pas , s'il vous plaît ! Donner tout ce que vous avez !

    A cette tirade, ils me foncèrent tous dessus comme un seul homme. Un peu affaiblit par mes trois jours de paralysie, j'eus un peu de mal à esquiver. Mais ma force était toujours la même. Surprenant ! Même mes réflexes n'étaient pas rouiller ! 

    Une fois que cette bagarre fut finis, je repris mes affaires et courus vers le lycée. Là, le prof de sport surveiller les entrées des élèves, pour bien vérifier que tout le monde était habiller correctement et surtout pour chopper les retardataires...

    Lorsque je passa devant lui, je lui lança un "bonjour" poli. Il me répondit d'abord par un hochement de tête, avant de se rendre compte que c'était moi. Il se retourna et me dévisageait, hébéter. Toute la cours s'était scinder en deux pour me laisser passer. A croire que j'étais Moïse, séparant une vague d'élève... cette pensée me fit sourire.

    J'arriva dans ma classe, pile au moment où la cloche sonner. Je m'assis à ma place. Les gars de ma bande n'était pas encore là. Ils arriveront surement en retard, comme d'habitude... Je sentais les regards curieux des élèves. Leurs chuchotement me parvenait par brides : "trois jours", "absent", "bagarre", "lucifer", "aussi tôt", "à l'heure", "rare", "mafia"...mafia ?

    Les rumeurs allaient de bon train, mais là je ne pu me retenir : j'explosa de rire. Il pensait sérieusement que j'avais un quelconque lien avec la mafia ? Je riais à en avoir mal au ventre, à la surprise général. Il est vrai que d'habitude, je fasse en sorte d'apparaître aux yeux des gens comme étant quelqu'un de froid, de stoïque, de cruel. C'est plus facile comme ça, quand on veut avoir la paix ! La preuve : depuis que j'étais entrer dans ce lycée, dans la peau de ce personnage, personne ne venait me faire ch*er pour des raisons quelconques ! Mais là, tout mon personnage vola en éclat.

    J'en avait les larmes aux yeux. 

    Alors que je finissais d'essuyer mes larmes, et que le prof de maths venait de commencer son cours, la porte s'ouvrit en grande volée. Le proviseur était là, essouffler. Il chercha quelqu'un du regard. Lorsqu'il me fixa, il eut l'air... plus que surpris. Il me pointa du doigt et s'exclama :

    -Toi ! Dans mon bureau immédiatement ! La semaine dernière tu t'es enfuis, mais là, je ne t'en laisserais pas l'occasion ! Dépêche-toi ! 

    Je me leva docilement et le suivis, sous les regards interloqués du prof et de la classe.

    D'habitude, je l'aurais soit ignoré, soit je me serais enfuis...mais je n'en avais ni le coeur, ni l'envie. Pour me reprendre et redevenir moi-même, j'avais besoin de quelque chose de "normal".

    Je me préparais donc à me faire engueuler par mon maître...


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  • 006

    J'ouvris les yeux doucement, sous le choque. Ce n'était surement qu'un rêve sans importance. Une coïncidence. 

    Je m'asseyais doucement. Je n'avais plus mal au dos. Seul ma tête me lançait encore un peu. J'essaya de retrouver la notion du temps.  Dehors,il faisait nuit. La fenêtre était entre-ouverte. J'avais encore un peu chaud... Je me leva. Trop vite. Je retomba d'un coup, pris de vertige. Je me sentais faible. C'était pitoyable. Qu'est ce qui m'arrivait ?

    La porte de ma chambre s'ouvrit. Ma soeur apparu sur le seuil en se frottant les yeux. Lorsqu'elle me vit, elle se précipita sur moi et m'aida à me rasseoir sur mon lit. Elle me mit sa main froide sur le front.

    -Tu as encore de la fièvre. Je vais réveiller papa, je reviens...

    Elle repartit aussitôt. Je me sentais léger. Un peu dans les vapes aussi. J'avais soif. J'avais de la fièvre, avait-elle dit. Impossible. En 17 ans d'existence, je n'étais jamais tomber malade. Jamais. Elle allait réveiller notre père. Cette pensée fit le tour de ma tête. Je compris enfin, mais trop tard. J'entendais déjà les pas de mes parents. Mince. J'allais me faire engueuler... et avoir le droit à un discours sur la violence... en pleine nuit. Je fixais la porte, avec appréhension.

    Mes parents entrèrent. La lumière fut allumer, ce qui m'éblouit. Mon cerveau marchait au ralentit. Ma mère se précipita vers moi, et me prit dans ses bras. Mon père m'observait aussi, inquiet et bouleversé à la fois.

    -Qu'est ce que... ? ma voix était cassé. J'avais la gorge sèche.

    Ma mère se détacha et recula :

    -Depuis maintenant deux jours, tu dors sous les effets de la fièvre. Tu nous as vraiment fais peur ! Qu'est ce que tu as bien pu faire, pour tomber malade comme ça ?

    J'haussa les épaules. 

    -De...l'eau... réussis-je à articuler.

    Ma soeur courus à la cuisine. Cela faisait donc 2 jours. 

    -Tu...nous a vraiment fait une sacrée frayeur, mon fils ! dis mon père. On a vraiment cru au pire. Qu'est ce qui c'est passé ce soir là ? Tu t'es battus ?

    -Pas de ça maintenant, en pleine nuit ! le rabroua ma mère.

    Ma soeur revint avec un verre d'eau. Je le bus d'un trait. J'étais assoiffer.

    -Je ne me suis pas battu. Je me promenais pour réfléchir et quelqu'un...ma forcer a boire quelque chose. Après je me souviens de rien... résumai-je.

    Avouer m'être fais embrasser par surprise,par un inconnu, était trop pathétique et m'était insupportable.

    Je releva la tête. Mon père me fixa en réfléchissant, ma mère avait l'air inquiète et ma soeur était choquer.

    -Quoi ? dis-je à cette dernière.

    -Cette personne devait être très forte ! C'est rare de pouvoir te surprendre ! s'exclama t'elle.

    Elle s'approcha de moi et colla son front au mien. C'était ce que je faisais d'habitude, quand elle était malade. C'était notre façon de communiquer notre inquiétude.

    -Ne t'inquiète pas. Je me sens déjà beaucoup mieux. Si je dors encore un peu, je serais en pleine forme, je pense... la rassurai-je.

    Ma mère hocha la tête. Chacun retourna dans sa chambre.

    J'attendis qu'il n'y ait plus aucun bruit, pour refaire un essaie. Je me leva doucement. Une fois stabilisé, je fis le point. Rien ne tourner. Je ne sentais aucune partie de mon corps me faire mal. Aucune courbature. Tout allait bien. Sauf mon léger mal de tête.

    Je me dirigea à pas de loups, dans la salle de bain. Je me mis face au miroir et m'examina attentivement. Mes cheveux étaient châtain clair. Mes yeux étaient verts, mais normaux. Je n'avais pas de corne, ni de queue de chat. Je n'avais pas d'ailes, non plus. Tout allait bien. Je m'étais sentis proche de ce gosse. C'était peut-être parce qu'on avait le même prénom et qu'on se ressemblait un peu...Oui, ça ne pouvait être que sa !


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  • 005

    L'oeuf  était là, seul dans ce grand nid. Puis, d'un coup, il se retrouva entouré de deux êtres magnifiques. A gauche, se trouvait un ange. Une femme au trait magnifique, que je ne pouvais décrire avec des mots. Elle avait six grandes ailes blanches déployer dans son dos. Une noblesse inhumaine et une douceur agréable, se dégageait d'elle. A droite, se trouvait un lion de feu. Un lion fait de feu, plutôt. Des flammes rouges, incandescentes. Je les entendis discuter :

    -Mes frères et soeurs m'ont dit n'avoir jamais vu un nouveau né aussi étrange. commença l'ange.

    Le lions se mit à rire :

    -Les miens m'ont rapporté qu'il était retourner de lui-même dans l'oeuf... en ayant vécu assez longtemps pour voir la création et la destruction de milliers de monde différents, c'est bien la première fois que j'entend parler d'un nouveau-né retournant de lui même dans l'oeuf !

    Le lion et l'ange s'assirent autour de l'oeuf.

    -Que penses-tu que nous devrions faire à propos de ce petit ? Je n'ai reçu aucun ordre...fit l'ange.

    -Moi non plus. Je suppose que notre créateur veut qu'on se débrouille seul... j'ai une idée ! Et si on commençait déjà par essayer de le faire sortir de là et de le rencontrer ? proposa le démon.

    L'ange rie, tout en acceptant. Ils commencèrent à parler à l'oeuf, patiemment. Sur le monde, en dehors du nid, sur la beauté des différents mondes qu'ils avaient visiter ect...

    L'oeuf finit par se craqueler. Un petit trou. Le petit était sans doute curieux. Il observa les deux créatures magnifiques qui l'entouraient, puis sortit une nouvelle fois de l'oeuf.

    En le voyant, ils furent surpris et le dévisagèrent songeur. Sans dégoût dans les yeux. Juste de la surprise et de la curiosité. 

    -Viens par la, mon petit ! fit l'ange en ouvrant les bras.

    Il s'avança prudemment vers elle. Elle l'installa délicatement sur ses genoux. Le lion s'approcha :

    -Ne t'inquiète pas, tu es en sécurité avec nous !

    Le petit les observaient, curieux.

    -Qu'y a t'il, mon petit ? demanda l'ange.

    -Vous n'allez pas vous disputez ? Les autres criaient fort... dit-il de sa voix fluette.

    Le lion et l'ange sourirent.

    -Vois-tu, petit, nous ne sommes pas comme les autres. Nous sommes plus vieux. Plus ancien. Nous ne perdons pas notre temps avec des choses inutiles, bien que nous ayons l'éternité... répondit le lion.

    L'enfant buvait ses paroles. 

    -Dis-moi, mon petit, pourquoi et comment es-tu retourné dans ton oeuf ? demanda l'ange.

    Le petit se cala contre l'ange.

    -On m'a dit que je devais pas sortir. Mais j'entendais des bruits bizarre, alors je suis sorti quand même. Et puis là, ils étaient là des deux côtés. Ils me faisaient peur. Ils ont criés. Je voulais pas qu'ils crient alors j'ai voulu repartir. L'oeuf est revenu me prendre. Et on m'a dit d'attendre le bon moment pour ressortir. Pis, vous êtiez là. On m'a dit que c'était bon. Et...c'est tout. dit-il en baillant.

    Les deux se concertèrent du regard. Le lion soupira :

    -Ce petit à un caractère d'ange. Mais j'imagine que s'il va de ton côté maintenant, il sera détruit avant même de s'être construit. Les anges sont devenus extrême dans l'art de détester ce qui sort des lois...

    -Oui, bien que je ne puisse rien y faire, j'en ai honte...se reprocha l'ange. Qu'allons-nous faire de lui ? Dans les terres du milieu, ils risquent de se faire corrompre ! Je ne le souhaite pas...

    -Jeliel, je ne te reproche rien. Ce n'est pas de ta faute. Je suis d'accord avec toi, cet enfant n'a rien à faire au milieu. Je te propose de le prendre de mon côté. Les démons sont plus laxistes, ils l'accepteront. Je le prend sous mon aile, jusqu'à ce qu'il ait assez de caractère et de confiance en lui. Es-tu d'accord ? proposa le lion.

    - Satan, je fais confiance à ton jugement. T'es propositions sont toujours justes, réfléchis et équitables. Protège-le bien. Il est spécial.

    Le petit somnolait. 

    -Avant de t'endormir, dis-moi juste une chose, petit...

    L'enfant se redressa, à l'écoute.

    -Quel nom t'ont-ils donné dans l'oeuf ? demanda le lion.

    -D'abord, il ne m'appelait pas. Ensuite, quand je suis retourner dans l'oeuf, ils m'ont dis que j'avais été prudent et réfléchis. Ils m'ont appelé Caliel...


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  • 004

    Je flottais. Ou plutôt, ma conscience flottait. Non, je n'étais pas hors de mon corps. J'étais dans un endroit, étrange... et vaguement familier.

    Soudain, le lien me frappa l'esprit. J'avais déjà vu cette endroit, lors de mes frayeurs nocturnes ! 

    J'observais plus attentivement. C'était une sorte de ... grand arbre ? Immense plutôt...oui, un immense arbre qui servait apparemment de frontière entre 3 sortes de ... pays ? Tout à droite, l'endroit était rempli de verdure, de fleur et ...d'ange ? Oui, des anges. Des gens avec des ailes blanches... étrange. Tout à gauche, un endroit tout aussi beau, remplie de fleur au couleur bizarre. Là bas, c'était apparemment le coin des démons. Les gens avaient des cornes et une queue. Puis, y avait le milieu. Je voyais là bas des anges et des démons, ainsi que des gens ayant des ailes grises. Là, je séchais.

    Ma conscience se rapprocha de l'arbre. J'y vis un nid. Un énorme nid. Rempli d'oeufs. Tous blanc. Puis d'un coup, les oeufs s'ouvrirent tous en même temps. Le bruit que les oeufs firent, ressembler à un coup de tonnerre. A ce bruit, des anges et des démons arrivèrent. Les petits anges qui venait de naître, allèrent vers les anges. Pareil du côté démon. C'était apparemment leur lieu de naissance...

    Mon regard fut attiré par un petit, pas comme les autres. Il ne ressemblait à aucun autres. Il était beau. Ils avaient une beauté saisissante. Une petite frimousse avec des cheveux couleur chocolats, d'où sortait des toutes petites cornes noir, arrondit. Des grands yeux vert, cernait d'un cercle rouge. Un petit nez et une petite bouche, boudeuse. Dans son dos, deux petites ailes blanches été plié, au dessus d'une queue noir, de chat. 

    Je pouvais sentir, que ce petit été perdu. Il ne savait pas où aller. Les anges, comme les démons le dévisageait, à la fois choquer et dégoûter. Je voyais, qu'eux même, ne savait pas quoi faire de lui. Je ressentais de la frustration et de la colère. Comment pouvait-il traiter un petit...une petite créature qui venait de naître de la sorte ? Ils étaient horrible ! Malheureusement, une force m'empêcher d'approcher. Je ne pouvais que me taire et regarder en silence.

    -Nous ne voulons pas de ce petit. Il a les traits des corrompus. Il ira donc chez les démons ! s'écria un anges.

    Les démons s'entreregardèrent. Puis l'un d'eux s'avança :

    - Si vous le prenez comme ça, alors nous aussi nous pouvons dire, qu'il a les marques des bénies ! Voyez ses ailes blanche !

    Les deux camps se fusillèrent du regard. Puis ils se mirent à se crier les uns sur les autres. Les petits anges se mirent tous a pleuré. Les petits démons, eux s'amuser de voir les adultes s'énerver. Le petit, dont personne ne voulait, était au milieu, ne sachant pas quoi faire. Ils regardaient à droite et a gauche, désorienter. Il fit alors quelque chose, qui la fit fermer aux adultes, comme aux nouveau-née. Il leva les bras en l'air. Et se mit a flotter. Il se mit en boule, et les coquilles de son oeuf, se reconstituèrent. Il était retourner dans son oeuf. Les adultes paraissaient à présent, honteux d'eux-même. Chaque groupes partit de son côté, laissant l'oeuf là où il était. Personne ne s'en préoccupa.

    Cet enfant me fit de la peine. Je voulais aller le réconforter, mais je ne pouvais toujours pas bouger.

    Alors que je me débattais pour aller rejoindre cet oeuf, deux ombres se manifestèrent aux côté de celui-ci...


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  • 003

    On m'embrassait. Ou plutôt, on m'embrassait pour me forcer à boire quelque chose. Je sentais un liquide étrange, couler le long de ma gorge. Je voulais recracher, mais la personne m'embrassait tellement...fougueusement (?) que je ne pouvais rien faire.

    Une fois que la personne vit que j'avais tout avalé, elle se détacha et resta dans l'ombre. Je voyais de plus en plus trouble. J'avais froid. J'avais chaud. J'eu le tournis. Tout tourner autour de moi...Je tombais à terre.

    -Qu'est...ce...que...vous...m'avez...fait ? demandai-je, la tête de plus en plus lourde.

    -Tu le découvriras bien assez tôt ! Ne t'avise pas d'essayer de vomir, c'est trop tard, de toute façon... me répondit une voix inconnu.

    J'essaya de lever la tête, pour au moins apercevoir mon agresseur, mais je sentis ma conscience s'éteindre rapidement. Puis tout fut noir. 

    Lorsque je rouvris les yeux, j'étais dans mon lit. 

    Je me rappela soudain des derniers événements...et m'asseyais d'un coup. Quelqu'un à ma droite sursauta. Je poussa un cri étouffer. Je me sentais étrange. J'avais encore froid et chaud à la fois. Je tremblais. Je ne sentais plus mon dos, et j'avais un très gros mal de tête. 

    -Qu'est ce qui c'est passé ? murmurai-je, pour moi-même.

    -Nous aussi, on aimerait bien savoir ce qui t'es arrivé, Cal ! s'exclama ma petite soeur, en me faisant signe de me rallonger. Hier soir, un policier ta ramener à la maison, inconscient. Il avait l'air de te connaître. D'ailleurs, ils étaient drôlement surpris ! C'est vrai que c'est rare de te voir aussi faible !

    -Tu profites que je sois malade pour te moquer de moi ? lui lançai-je, d'une voix étrange.

    -Non. Je suis sérieuse ! D'après le policier, ce n'était pas une bagarre. Il t'a retrouvé là, allonger par terre, tout seul, à côté du parc aux balançoires... qu'est ce qui c'est passé ?

    -Je n'en sais rien moi-même...chuchotai-je. Sinon, tu m'as dis que sa c'était passé hier ? Tu sèches l'école ? 

    -Il faut bien que quelqu'un s'occupe de toi ! Et puis, tu m'as donné une bonne raison, pour prendre un jour de vacance ! Même si j'avoue, que je n'aime pas te voir dans cet état...

    Je leva la main pour lui caresser la tête. Elle se laissa faire.

    -Merci de t'occuper de ton grand frère malade, bien que ce soit par intérêt... souriais-je.

    Elle me fit une grimace, puis sorti. Une douleur atroce s'éveilla dans mon dos. C'était horrible. Je sentais ... comme si ... comme si ma colonne vertébrale voulait se briser et sortir de mon dos...en compagnie de tout mes organes... Je n'avais jamais ressenti ça. Etait-ce à cause du liquide qu'on m'avait fais boire ? D'ailleurs qui était-ce ? La douleur me fit perdre le fil de mes pensées. C'était insoutenable. Et pour la deuxième fois de ma vie, je m'évanouie de nouveau...


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