• 04

    Je venais de sortir du Lycée.

    Première étape remplie.

    Je devais à présent trouver pour me calmer. Retrouver ma forme humaine n'était pas de tout repos.

    Mon père m'avait bien enseigner une technique, mais sa prenait du temps.

    Je commença a marcher dans la rue. 

    Je remarquais bien que pour les passants, j'avais l'air louche ! 

    Mais qu'est ce que je pouvais y faire ?

    Je trouva un parc d'enfant a proximité.

    Il était vide. Normal, il n'était qu'onze heure du matin !

    Je m'assis sur un banc et me détendis en inspirant et expirant à plein poumon.

    Je ferma les yeux et m'imagina en train de ranger mes oreilles ... ma queue ... mes griffes.

    Puis j'ouvris les yeux et me tâta la tête.

    Mes griffes et mes oreilles n'étaient plus là.

    Mais c'était une autre histoire pour ma queue ...

    Je soupira en enlevant ma capuche.

    Le banc où j'étais assis était la place idéale : à l'ombre d'un arbre où des rayons de soleil filtrer au travers des branches...

    Je fis un autre essaie pour enlever ma queue. Sa demander concentration et imagination.

    Je vérifia une fois encore : ma queue était partie.

    -Ouf ! m'exclamais-je à voix haute.

    Je m'étira et m'allongea sur le banc en utilisant mon sac comme oreiller.

    Je voulais juste me détendre ... mais pas trop quand même ...

    Un oiseau passant de branche en branche attira mon attention.

    Mon instinct me disait de grimper à l'arbre pour essayer de l'attraper.

    Quand j'étais petit, il s'était produit la même chose.

    A la différence que mon côté chat avait pris l'avantage et je m'étais retrouvé coincé sur une haute branche de l'arbre, tout seul, comme un idiot ... et mon père était venu me chercher.

    Je souris en repensant à la scène.

    Cette fois, je resta calme. Humain. Mon côté chat avait voulu apparaître une milliseconde avant de se rendormir.

    Ce n'était pas de tout repos d'avoir de face d'une même pièce en soi.

    J'avais entendu parler des humains Schizophréne. Mais au moins, eux, restait humain.

    Une mouche passa près de moi. De la main, je m'amusais a essayé de l'attraper.

    Après un temps, où je faillis m'endormir, je m'assis puis me leva : il était temps de rentrer.

    La véritable épreuve pour moi aller commencer.

    Ma mère savait à quel point je n'aimais pas me promener seul dans la rue.

    Etant un demi-chat, je suis ... haïs (?) de tout les canins et rongeur.

    Les chiens m'aboient dessus sans vergogne et si un rat, une souris où une chose de se genre me croise, sois elle s'enfuit, sois elle me cherche et me nargue.

    Dans la rue, il était évident que même au abord de midi, des gens se promènerait avec leur chien.

    Je sentais l'appréhension et le stress monter en moi...


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