• 018

      "De ce que j'ai entendu, tu ne vas pas tarder à avoir tes réponses... " 

    Je méditais encore sur la déclaration qu'il m'avait fait, lorsque Goddy revint, un plateau sur les mains.

    Il m'avait apporter du jus d'orange et des tartines. C'était louche. Il était beaucoup trop gentil là. Sa frôler l'hypocrisie. Mais je mis cette question de côté et me mit à boire. J'avais soif. Ma tête contenait beaucoup trop de question sans réponse. 

    -Stop ! entendis-je.

    -Quoi ? J'ai plus le droit de penser maintenant ? lui dis-je.

    -C'est pas sa... mais ta fièvre à l'air de remonter. Recouche-toi !

    Normalement, je ne suis les ordres de personnes... mais étant dans une position de faiblesse, je me rallongea. Ma tête était de plus en plus lourde. Cette sensation commençait à me paraître familière.

    **********

    Le petit était au palais. Il lisait tranquillement dans le jardin. Puis une chose volante tomba sur lui, soudainement.

    -Aie, aie, aie ... est ce que ça va ?

    Un ange, ayant l'air d'être du même âge que le petit, était là, en train de l'écraser, ailes sorties.

    -Je...pense que ça va... répondit le petit. Tu peux bouger ?

    L'ange se poussa tout de suite. Il le dévisagea :

    -Tient ? Qu'est ce qu'un démon fait ici ? C'est le jardin du palais, non ?

    -Oui, je suis un démon. Enfin, un demi-démon. C'est Jeliel qui m'a fait venir ici...

    -Un demi-démon ? Tu es a moitié démon et a moitié quoi alors ?

    L'ange avait l'air simplement curieux.

    -Je suis aussi a moitié ange. Tu n'as pas peur de moi ?

    -Non, pourquoi ? 

    -Tu es l'un des rares anges à ne pas m'avoir rejeter... fit le petit heureux.

    -En général, les grands ont un certain...dégoût pour ce qui sort des règles et de la normalité.  Mais moi je ne comprend pas trop cette façon de penser... comment tu t'appel ?

    -Caliel... et toi ?

    -Goribiel. 

    J'aurais aimer écouter leur discussion, mais les visions recommencèrent à s'accélérer. Les deux petits discutèrent longtemps. Les jours suivant, Goribiel revint lui rendre visite. Ils discutaient, jouaient et avait l'air de s'entendre à merveille. Aniel, le professeur, vint le voir plusieurs fois aussi. Il lui enseigna beaucoup de chose.

    Les visions ralentirent. Le petit et Aniel était dans le jardin, prés d'un petit ruisseau.

    -Bien, maintenant, il est temps de voir avec quel élément tu as le plus d'affinité ! Met toi près de l'eau et tend tes mains.

    Le petit le fit. Rien ne se passa. 

    -Maintenant, sort tes ailes. Vole et essaye de sentir l'air autour de toi.

    Le petit le fit, rien ne se passa.

    -Assis-toi par terre, confortablement et ferme les yeux. 

    Le petit s'assit au pied d'un arbre, bien câler, dos au tronc. Il ferma les yeux.

    Lorsqu'il les rouvrit, il se rendit compte qu'il s'était assoupis.

    -Aniel ? appela t'il en émergeant.

    -Oui ? 

    -J'ai dormi longtemps ?

    -Non. Regarde ce que tu as réussi à faire ! s'exclama t'il en l'aidant à se relever.

    Le petit avait l'air de ne pas en croire ces yeux. L'arbre contre lequel il s'était endormi était à présent remplit de fleur et plein de vie.

    -Ton affinité est donc avec la terre. Tu as un don précieux. Essaye de demander à la terre de faire quelque chose.

    Le petit ferma les yeux et se concentra. La terre avait former une sorte de chaise devant lui. Il s'assit dessus.

    -Tu es l'un des rares à être affilier à la terre. Un élément primaire. Tu es spécial en tout point de vue, Caliel ! Tu m'intéresse de plus en plus ! En outre, je suis soulagé. Sa aurait pu être pire pour toi si tu avais une affinité avec le feu ou un de ses éléments secondaires...

    -Pourquoi ?

    -Parce que nous les considérons comme étant des êtres dangereux. Heureusement, ceux-ci sont rare, mais il y en a. 

    -Et qu'est ce qu'ils deviennent ?

    -Ils sont enfermer quelque part dans le palais, d'après ce que je sais. Bien, maintenant qu'on sait que tu es lié à la terre, commençons ton apprentissage ! Il faut que tu maîtrise ton don rapidement !

    Tout heureux, le petit suivit ces cours. Chaque jours passaient, le matin il voyait Goribiel, l'après midi, il avait cours avec Aniel. Il avait l'air de reprendre vie, de moins se laisser abattre.

    Les visions accélérèrent. Je le vis continuer sa routine, et une fois qu'il était seul, il fouinait un peu partout dans le palais. Il réussit à trouver les affilier au feu, dans une tour du palais. Il se lia d'amitié avec plusieurs d'entre eux. Il partait leur rendre visite dés qu'il le pouvait.

    Les jours passaient. Encore et encore. Les visions ralentirent de nouveau.

    Il était à la bibliothèque assis par-terre, au pied d'un rayon. C'est là, que sa vie devint un cauchemar.

    Si seulement, il n'avait rien entendu. Si seulement, il n'était pas venu lire se jour-là...

    Peut-être que rien de tout cela ne serait arriver...


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