• 013

    Je vis défilé des jours entier, rapidement. Chaque jours, Jeliel et le petit se retrouvaient dans ce jardin.

    Je remarqua aussi très vite que la plupart des anges l'éviter et le regarder froidement. Satan n'était toujours pas venu le voir. Seul Anauel se souciait de lui et venait le voir de temps en temps. Elle lui apprenait des choses, parlait et rigolait.

    Le temps passait, mais la froideur des anges ne changer pas. Il passait le plus clair de son temps dans sa chambre ou dans le jardin. Il ne parlait à personne à part Jeliel et Anauel. Plus le temps passait, plus il déprimait.

    Un jour, il voulut changer d'air, et alla se promener discrètement vers le village, au pied du palais où il était supposé rester. Il se cachait tapis dans l'ombre. Malheureusement, des adultes et des enfants l'aperçurent. Avant qu'il est pu faire quoi que ce soit, les anges lui jetèrent des pierres et tout ce qu'il avait sous la main en lui hurlant des choses que je n'entendais pas. Si j'avais pu bouger, je serais partis le protéger de mon corps si il aurait fallut ! Même si il était différent, il n'en restait pas moins un enfant seul et isolée ! Personne n'avait le droit de le traiter comme cela ! 

    J'étais révolter et j'essayer de me dégager sans y parvenir. J'en avais assez d'être coincer !

    Le petit s'enfuyait, en recevant des cailloux partout sur lui, qui le blesser.

    Il s'enfuyait en allant droit devant lui. Jusqu'à ce qu'il arrive devant une barrière transparente. Il s'y arrêta pour reprendre son souffle. Il se mit en boule. Il se mit à pleurer. 

    Une personne aux ailes noirs s'approcha de lui. C'était un homme très beau. Celui-ci s'assis à côté de lui et lui mit une main sur l'épaule. Le petit leva la tête. L'ange noir le dévisagea, curieux :

    -Hé, p'tit bonhomme, qu'est ce que tu fais là ? Les anges n'ont pas le droit de venir aussi prés de la frontière ! 

    Le petit se frotta les yeux et s'exclama :

    -Je suis pas un ange ! Je suis pas pourri comme eux !

    -Hé ! Calme toi ! D'accord, oui je vois bien que tu n'es pas un anges. Tu as plus l'air d'un démon, à dire franchement...mais si tu es là c'est qu'il y ait une raison ! Quel partie de toi est angélique ?

    Pour répondre, le petit se tourna et sortit ses ailes.

    -Ah oui, je vois...constata l'inconnu.

    Il caressa doucement les ailes du petit.

    -Ah ! Sinon je m'appel Lucifer, et toi petit ?

    -Caliel...

    -Pourquoi pleurais-tu ?

    Le petit lui raconta l'histoire. Pendant ce temps, un deuxième ange noir vint les rejoindre. Il écouta aussi attentivement. Lorsque le petit eut fini, Lucifer le prit contre lui et lui caressa la tête.

    -Si t'aimes pas à ce point là le paradis, je veux bien échanger avec toi ! plaisanta l'inconnu. Non, sérieusement, si tu n'es pas heureux ici, fait quelque chose de grave pour être bannis ou venge-toi ! 

    -Ne dis pas sa à un enfant, Amaros ! le rabroua Lucifer. Caliel, mieux vaut pour toi de rester au palais ! Tu y seras plus en sécurité ! Nous ne pouvons pas venir te voir, car nous avons été bannis du paradis. Nous sommes des déchus. Nous ne pouvons être qu'ici, à la frontière...alors sois prudent d'accord ? Chaque chose à une raison d'être ! Si tu es ici, c'est qu'il y a une raison ! Mais n'oublie pas : je suis devenu ton ami, alors je ferais tout pour te protéger si tu as des ennuies, d'accord ?

    Le petit hocha la tête.

    -Maintenant, va ! Et ne revient plus ici ! Ne sort plus des environ du palais ! s'exclama Lucifer.

    Le petit retourna donc au palais...

    ********

    Je releva la tête d'un coup, faisant sursauter quelqu'un à ma droite. Rick.

    -Combien de temps j'ai été...assoupis ?

    -10 minutes, tout au plus... Tu nous as fait une sacrée frayeur à t'endormir comme sa, d'un coup !

    -Qu'est ce que tu fais là ? Pourquoi tu n'y es pas allé avec les autres ?

    -Hé~ relax boss ! J'suis rester avec toi pour te protéger au cas où ! Pis, Simon gère bien les choses ! Tu t'inquiètes pour rien !

    -Où sa en n'est ? 

    -Ils sont tous rentrer...ils ont trouvé tout la bande et ils sont encore en train de se battre...on y va ? Tu te sens mieux ? dit-il en se levant.

    -Ouais...on y va ! m'exclamai-je.


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